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Laurent Schachmann, anciennement psychothérapeute
Psychothérapie, formation, supervision

Approche centrée sur la personne, Thérapie existentielle


 

 

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Carl Rogers / ACP

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Questions fréquentes
(MAJ : 06/10/22)


Les réponses ne constituent pas une vérité,
mais uniquement mon point de vue (qui, de surcroît, peut évoluer).

 

Le paradoxe de ce site

Carl Rogers est-il votre gourou ?

Ai-je besoin d'un psy ?

La psychothérapie : discipline scientifique ou ésotérique ?

Quelle est la différence entre psychothérapie et counseling ?

Quel est votre avis sur la loi réglementant le titre de psychothérapeute ?

Comment s'y retrouver entre les différents « psys » ?

Savez-vous établir un diagnostic ou ai-je besoin de voir un psychiatre ?

Que pensez-vous des antidépresseurs ?

Pourquoi parlez-vous de client et non de patient ?

Êtes-vous un bon psy ?

J'envisage de consulter un psy ; pourquoi vous choisir, vous ?

Quelles sont les obligations mutuelles du psychothérapeute et du client ?

Quelles sont les modalités pratiques des séances (lieu, durée, fréquence) ?

(Sans objet)

Quelle est la durée d'une thérapie ?

Quel est le coût d'une thérapie ?
 

 Le paradoxe de ce site

Ceci est une question fréquemment posée, mais uniquement par moi.

D'un côté, l'existence et le contenu de ce site vont dans le sens de la (sur)valorisation de ma personne.

De l'autre côté, tout mon travail, toute ma démarche ont pour objectif d'être aussi proche que possible de moi-même, de pouvoir me présenter à l'autre, à vous, donc, tel que je suis, sans masque, sans rôle, avec mes limites et mes imperfections, bref dans ma simple humanité, ce qui veut également dire avec toute mon humanité.

Cette recherche, non pas de modestie mais d'authenticité, est, comme Carl Rogers l'a montré, indispensable à la relation thérapeutique.

 Carl Rogers est-il votre gourou ?

Un gourou est une personne qui se place et qu'on place sur un plan supra-humain : celui  de l'omniscience, de l'infaillibilité et, d'une certaine façon, du pouvoir.

Ce n'est pas ainsi que je considère Rogers, ni surtout qu'il se considérait lui-même. Voici deux de ses citations :

« Je suis Carl Rogers. Je suis ici et maintenant, je ne suis pas une autorité, un nom, un livre, une doctrine... Je suis une personne imparfaite qui essaie de trouver la vérité dans le domaine difficile des relations humaines. » (Introduction au séminaire de Dourdan, 1966).

« Je tiens beaucoup à avoir de l'influence sur les autres, mais je tiens tout autant à n'exercer aucune forme de pouvoir. » (cité de mémoire).

Pour moi, Carl Rogers n'est pas un gourou, il n'est même pas un maître. Il est celui qui a mis en évidence les conditions optimales du développement de la personne. Ses théories sont issues de son expérience ; il les a prouvées scientifiquement.

Ma propre expérience va dans le sens de l'expérience de Carl Rogers.

Ai-je besoin d'un psy ?

OUI.

Le simple fait que vous vous soyez posé la question est une réponse.

Quelques séances pourront vous aider à établir que vous n'avez pas besoin de moi.
Ou bien le contraire.

La psychothérapie : discipline scientifique ou ésotérique ?

La psychothérapie n'est pas une science dure : on ne peut établir des vérités systématiquement reproductibles. Heureusement d'ailleurs, sinon cela signifierait que nos neurones,  y compris les plus émotionnels, se comporteraient comme des circuits imprimés.

Cependant, il est possible d'aborder scientifiquement les méthodes psychothérapeutiques et leurs effets. C'est d'ailleurs cette inlassable recherche qui a permis à Rogers de jeter les bases de ses plus importantes découvertes :

Observation empirique --> Hypothèse --> Clinique et statistiques --> Observation ...

La Terre ne tourne pas autour du Soleil que depuis Galilée. De même, les phénomènes psychologiques préexistent à leur compréhension. Celle-ci étant encore balbutiante, un boulevard reste ouvert pour les tenants de la pensée magique. Cela explique que des croyances irrationnelles soient largement répandues, aussi bien chez les thérapeutes que chez les clients.

Ce qui précède n'est pas une position scientiste. Je ne nie pas l'existence de phénomènes inexpliqués, je ne nie pas l'existence de Dieu, je nie encore moins l'aspiration à l'élévation spirituelle de beaucoup d'humains. Je précise simplement que ma pratique ne se situe pas dans un flou savamment entretenu ; elle s'appuie sur des modes de relation éprouvés et validés. Mon talent (?) personnel fait le reste.

NB : Les récentes et formidables avancées des neurosciences permettent cependant de valider l'essentiel des découvertes de Rogers, à savoir que le développement de la personne est fortement dépendant de l'activation des zones émotionnelles du cerveau.

Quelle est la différence entre psychothérapie et counseling ?

Chaque client exprime un besoin et un objectif spécifiques. Tel considère qu'il n'a besoin que d'un soutien psychologique, d'une aide pour franchir un cap difficile ; tel autre voudra régler un problème plus fondamental, le handicapant gravement dans sa vie ; un autre enfin, pour qui un trouble aura été diagnostiqué, souhaitera expérimenter une voie de développement complémentaire à la médication.

Dans chacune de ces situations, la demande du client pourra se nommer aussi bien psychothérapie que counseling.

Pour ma part, tout en entendant la demande telle qu'elle est exprimée, je mets en œuvre les mêmes attitudes pour accompagner mon client aussi loin qu'il le souhaite, dans les directions qu'il s'est choisies.

Quel est votre avis sur la loi réglementant le titre de psychothérapeute ?

Cela intéresse encore quelqu'un, en 2022 ?


Comment s'y retrouver entre les différents « psys » ?

L'étude étymologique des mots psychologue, psychiatre, psychothérapeute et psychanalyste nous en apprend beaucoup sur ces différentes professions.

Le psychologue exerce la science (le discours) de l'âme.
Il a  reçu une formation universitaire de niveau bac + 5.
Il possède donc une grande compétence théorique sur l'être humain en général. Le psychologue clinicien a en outre effectué un stage qui l'a mis en présence, pendant quelques heures, d'êtres humains réels.

Merci au site Psychologues de France (www.psychologuesdefrance.info) d'arborer fièrement sa devise : « Le seul spécialiste en psychologie, c'est le psychologue ». Cela me permet de me différencier facilement de cette profession : en ce qui me concerne, je ne m'occupe pas de psychologie, fût-ce la vôtre ; je m'occupe de vous (voir la page Table de chevet). Accessoirement, ce site ne dit pas si « Le seul spécialiste en psychothérapie, c'est le psychothérapeute ».

Le psychiatre est le médecin de l'âme.
C'est donc un médecin qui a poursuivi ses études après son doctorat. Sa formation est de niveau bac + 10.
Il a toute compétence ? il est même irremplaçable ? Sans doute pour établir un diagnostic et prescrire des médicaments.

Le psychothérapeute (dans le sens pourtant naturel que la loi lui refuse malgré tous les dictionnaires, à savoir : praticien de la psychothérapie)  est celui qui soigne (je dirais plus volontiers « qui prend soin de ») l'âme.
De nombreuses approches, parfois très différentes les unes des autres, constituent la psychothérapie.

Selon moi, un psychothérapeute doit posséder les caractéristiques suivantes :

  • une formation (de 3 à 5 ans) selon une méthode reconnue scientifiquement, comprenant une part importante d'expérience personnelle, comprenant également une formation théorique à la psychopathologie ;

  • une thérapie personnelle approfondie et un engagement à poursuivre le travail sur soi ;

  • une pratique supervisée (bien que cette nécessité de la supervision soit inscrite dans les engagements déontologiques du psychothérapeute, je choisis de la faire apparaître spécifiquement : elle constitue à mes yeux la meilleure garantie du client, la meilleure protection contre toute dérive) ;

  • un engagement déontologique (cf. dans cette page, la question Obligations mutuelles).

Le psychopraticien  est tout simplement un praticien de la psychothérapie ; autrement dit : un psychothérapeute. Le néologisme a été créé pour respecter la ridicule loi Accoyer-Bachelot qui a décidé que les praticiens de la psychothérapie n'étaient pas des psychothérapeutes, et que désormais seraient psychothérapeutes ceux qui ont été formés à d'autres métiers que la psychothérapie. Vous vous y perdez ? Désolé ; adressez-vous à M. Accoyer !

Le psychanalyste  est celui qui décompose (sous-entendu « pour en comprendre les mécanismes ») l'âme.
Si l'on considère ce qui est écrit ci-dessus pour la psychothérapie, on peut considérer la psychanalyse comme une forme particulière de psychothérapie, avec un référentiel théorique spécifique.

Les psychiatres et psychologues pratiquant la psychothérapie sans avoir suivi une thérapie personnelle, sans une formation à la psychothérapie comprenant une part importante d'expérience personnelle, sans supervision sont à mon avis à éviter.

Savez-vous établir un diagnostic ou ai-je besoin de voir un psychiatre ?

Malgré ma formation en psychopathologie, je ne suis pas en position d'établir un diagnostic : occupé que je suis à vous accompagner, ouvert à votre ici et maintenant , profondément engagé à vos côtés, je ne peux ni surtout ne veux adopter le point de vue extérieur qui pourrait me permettre d' « étudier votre cas ». C'est pourquoi, si vous souhaitez vraiment obtenir un diagnostic, je vous encouragerai à consulter un psychiatre.

En revanche, je suis extrêmement réservé sur le fait d'entreprendre une thérapie avec votre psychiatre, fût-il formé à la psychothérapie. En voici la raison : je doute que le médecin qui diagnostique une pathologie, qui prescrit des médicaments, puisse se mettre en situation d'acceptation et d'ouverture, situation que je juge indispensable à la relation psychothérapeutique. C'est pourquoi les psychiatres peuvent utilement m'adresser leurs patients, considérant que la psychothérapie est un précieux — voire indispensable — complément au traitement médicamenteux.

Psychiatre et psychothérapeute sont donc parfaitement complémentaires.

Un élément de la question reste encore à aborder : vous qui me posez la question, que pouvez-vous faire d'un diagnostic ?
Deux cas se présentent : soit vous serez rassuré par un diagnostic, y trouvant un point d'appui pour votre développement, soit — comme de nombreuses personnes — vous vous sentirez enfermé, limité, étiqueté.
La réponse est donc, encore une fois, très personnelle.

Etes-vous favorable ou opposé à la prise d'antidépresseurs ?

Ne possédant pas moi-même de compétences pharmacologiques, je me réfère à l'Afssaps (Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé, ex Agence du médicament), l'agence gouvernementale chargée, entre autres missions, d'établir les recommandations de bon usage des médicaments, dans un souci de santé publique et bien naturellement indépendamment des intérêts du lobby pharmaceutique.

L'Afssaps, au travers de nombreuses publications et recommandations, lutte contre l'excès de prescription d'antidépresseurs. Lutter contre l'excès signifie reconnaître l'utilité de cette prescription, mais seulement dans des cas bien précis, dans lesquels un rapport bénéfice/risque favorable a été évalué.

Voici quelques citations, tirées du site de l'agence :

Si la prise en charge de la dépression nécessite un traitement médicamenteux antidépresseur, cette prescription n’est recommandée que dans les épisodes dépressifs « caractérisés » d’intensité modérée ou sévère.

Le traitement de première intention de la dépression chez l’enfant et l’adolescent est la psychothérapie.

Bon usage des antidépresseurs au cours des troubles dépressifs chez l’adulte
Il est recommandé d’entreprendre une prise en charge adaptée : être à l’écoute du patient et lui apporter un soutien psychologique.

Dans les épisodes d’intensité légère, les antidépresseurs, notamment imipraminiques et ISRS n’ont pas démontré leur efficacité.

La survenue isolée d’événements de vie (deuil, divorce, chômage…) ne constitue pas à elle seule une indication à un traitement antidépresseur.

Les symptômes dépressifs qui n’atteignent pas le seuil d’un trouble dépressif en termes d’intensité, de durée et de retentissement ne relèvent pas d’un traitement par antidépresseur sauf s’il s’agit de symptômes résiduels, qui doivent être contrôlés.

Mises en garde :

1. Les citations ci-dessus sont naturellement sorties de leur contexte. Je pense n'en avoir pas dénaturé le sens. Ce paragraphe ne constitue pas pour autant une étude scientifique.

2. Dans les cas où la prescription est envisagée, les effets indésirables, dont l'augmentation du risque suicidaire n'est pas le moindre, doivent être soigneusement soupesés.

Avis personnel :

Les antidépresseurs sont des médicaments qui peuvent être efficaces. Ils ne sont pas concurrents, mais complémentaires de la psychothérapie. La prise d'antidépresseurs renforce l'efficacité de la thérapie et réciproquement.

Les molécules proposées sont très nombreuses, très différentes les unes des autres, autant par leurs indications que par leurs effets indésirables, voire leurs risques.
Pour la plupart, les médecins généralistes les prescrivent sans discernement, sous l'influence combinée des laboratoires et des patients qui échangent des tuyaux sur les forums internet.

L'avis d'un psychiatre me paraît indispensable.

Pourquoi parlez-vous de client et non de patient ?

Le patient, c'est celui qui sait attendre ; c'est aussi celui qui est passif. Dans le vocabulaire médical, c'est celui qui est malade et dont la maladie va être guérie par un autre, détenteur du savoir.

Ce n'est pas ainsi que je considère les personnes que je reçois. Chacune de ces personnes est ce qu'elle est et j'évite de mettre des mots pour la désigner ; ces mots seraient nécessairement réducteurs. Je fais confiance à chacune pour trouver elle-même son chemin ; je ne fais que mettre en place les conditions qui vont lui permettre de l'emprunter, au rythme qui lui convient.

Je suis conscient que le mot client peut choquer —  il ne me convient moi-même que moyennement —, essentiellement par sa connotation mercantile. Il possède cependant l'avantage d'une certaine neutralité, je dirais même d'un certain équilibre dans la relation.

Et j'aime cet équilibre.

Êtes-vous un bon psy ?

Euh ... Qu'entendez-vous par là ? Entre Mahler et David Bowie, y a-t-il un bon et un moins bon ?

Vous saurez, après quelques séances, parfois dès la première, non pas si je vous conviens (au sens de confort) mais si je peux vous aider à avancer.

Je ne nie pas pouvoir commettre des maladresses voire des erreurs  « techniques » . L'une comme l'autre peuvent être utiles, mais à une condition : qu'elles soient exprimées et que leurs conséquences soient explorées, ce qui sera possible après que la la relation thérapeutique l'alliance thérapeutique aura été créée.

Permettez-moi de vous rapporter une conversation.
« Dis-moi, Laurent, voudrais-tu devenir mon thérapeute ?
— Je suis désolé, chère A., mais malgré le fait que tu participes à mes groupes depuis plusieurs années, il se trouve que ton compagnon est devenu mon client. Cela m’interdit, nous interdit, la poursuite d’une relation thérapeutique.
— Pourrais-tu m’indiquer un collègue qui travaillerait comme toi ?
— Je regrette, je ne connais pas une telle personne. »
In petto :
« ... parce qu'une telle personne n'existe pas. »
Sans doute enfoncé-je une porte ouverte en rappelant mon unicité ; tous les humains — et parmi eux tous les thérapeutes —  le sont.  Mais ce qui me rend unique parmi les uniques, c’est que l’expression de cette unicité est mon premier outil de travail, juste devant tout ce qui est décrit en page d’accueil. D’un cheveu. Mais ce cheveu fait toute la différence.


J'envisage de consulter un psy ; pourquoi vous choisir, vous ?

Ce n'est pas à moi de vous le dire. Et d'ailleurs, on s'en fout.

Ce qui compte, ce n'est pas de prendre un premier rendez-vous, c'est de choisir, à chaque fois, de continuer.

Avec le recul des années, je me suis rendu compte que les personnes qui se trouvent bien de la rencontre avec moi sont :

  • les personnes qui entament une première thérapie et apprécient que je sois un psy qui ne ressemble pas à l'idée qu'elles se font d'un psy (pas de froideur, d'aspect empesé, de distance savamment entretenus), je vous laisse découvrir mon antiportrait.

  • les personnes qui ont quelques —  voire de nombreuses — années de psychanalyse ou de thérapie analytique et qui se sont enfin autorisées à vivre une relation émotionnelle et personnelle, débarrassée des nombreux interdits du carcan freudien ou lacanien (dans le respect néanmoins du cadre déontologique).

Vous pouvez également lire le texte « Comment choisir la bonne personne aidante ? » en rubrique Carl Rogers/ACP

Au moment de choisir un psy, n'hésitez pas à poser aux psychothérapeutes psychopraticiens sollicités toutes les questions sur leur formation, leur méthode ou approche, leur supervision et enfin leur cadre. Si certains refusent de répondre précisément, tirez-en des conclusions.

Quelles sont les obligations mutuelles du psychothérapeute et du client ?

Bien que je ne sois pas membre d'une association professionnelle, mes engagements s'inspirent de ces textes :

  • le code de déontologie de la FF2P  en savoir plus ;

  • la charte des clientes et clients en psychothérapie en savoir plus.

  • la charte des valeurs unitives de la psychothérapie centrée sur la personne  en savoir plus ;

  • le code de déontologie du psychothérapeute adhérent à l'AFP-ACP en savoir plus .

Si vous devenez mon client / ma cliente, je vous demanderai de :

  • respecter mon intégrité physique : ne pas porter de coups sur moi, ne pas me cracher dessus, etc. ;

  • respecter mes biens personnels : pas de destructions des meubles ou objets se trouvant dans la salle de réception ou la salle d'attente ;

  • payer les séances, même non effectuées, sauf en cas de force majeure (ce qui sera explicité à la fin de la première séance).

Les trois points ci-dessus constituent l'intégralité de vos obligations. Autrement dit, tout le reste est autorisé. Et vous, quel degré de liberté vous autoriserez-vous  ?

Quelles sont les modalités pratiques des séances (lieu, horaires, durée, fréquence) ?

Les séances se déroulent à un endroit convenu ensemble :

  • à mon cabinet, à Paris 18e, au pied de la butte Montmartre;

  • dans ma maison de Sauve (30) pour les personnes habitant aux alentours de Nîmes, Montpellier, Le Vigan, Alès ;;

  • en tout autre endroit qui nous conviendra à tous deux, pourvu que la confidentialité y soit assurée ;

  • en ligne par Zoom ou Skype.;

Une séance dure 50 à 55 minutes. Si l'on ajoute le temps de procéder au règlement, confirmer le rendez-vous suivant et se dire au revoir, cela fait une heure. Le temps de repos et de ressourcement que je m'accorde après votre séance constitue également une marge de sécurité : il n'y aura pas d'interruption violente de notre entretien.

Sauf nécessité, je ne travaille pas le samedi.
En ce qui concerne les jours fériés tombant en semaine, c'est sans scrupule que je suis à votre disposition. C'est tellement pratique pour prendre rendez-vous !

Vous pouvez choisir la fréquence qui vous convient.
Surtout, cette
fréquence est modulable et vous pouvez en changer sans préavis.

Respectez au mieux votre évolution, votre perception du processus thérapeutique vos besoins mais aussi malheureusement, les contraintes pratiques.
Cette liberté que vous exercez n'est en aucun cas synonyme de solitude ou d'abandon ; dans vos questionnements, vos tâtonnements, vos décisions, je suis en permanence présent à vos côtés.

Quelle est la durée d'une thérapie ?

E

Entre un mois et dix ans, voire plus. Nous en reparlerons ...

 

Quelle est le coût d'une thérapie ?

Une rubrique de ce site est dédiée à la question (ou plutôt aux nombreuses questions) de l'argent dans la thérapie. J'y réponds aussi authentiquement que possible, en prenant, je crois, quelques risques ici.