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À vous sportifs professionnels (tennis, golf, arts martiaux, athlétisme, vélo, sports mécaniques, natation), artistes, cadres dirigeants, je propose un coaching individuel avec pour objectif de vous permettre de recueillir les fruits, tous les fruits, de votre préparation physique, technique, intellectuelle, cognitive, stratégique. Il ne s'agit surtout pas de préparation mentale, mais au contraire de libération du mental ; car je crois que le mental est votre plus coriace adversaire. L'exemple du joueur de tennis professionnel (Tournois Futurs, Challengers, ATP et plus) Pour gagner des matches, un joueur de tennis doit réunir au plus haut niveau possible les qualités suivantes :
Et c'est tout ! Rien d'autre ne permet de gagner les points. Et surtout pas le mental. Pour rattraper une balle et la renvoyer de l'autre côté du filet, il faut et il suffit de pouvoir courir vite et répéter cet effort longtemps, savoir comment placer les différentes parties du corps pour que la balle aille où l'on veut et enfin savoir anticiper les actions comme les réactions de l'adversaire. N.B. Souvent préparateur physique, conseiller technique et entraîneur sont une seule et même personne, souvent un ancien professionnel. Cela peut être pertinent. Cela donne-t-il la compétence spécifique permettant de gérer, aider, canaliser un mental défaillant ? Je prétends que non. Un mental d'acier permettrait, dit-on, de jouer à 120 % de ses possibilités. C'est une jolie expression poétique, mais qui ne recouvre aucune réalité. Pas besoin d'être fort en mathématiques pour savoir que le maximum est égal à 100 %. Le mental, ce n'est pas ce qui va faire passer le joueur de 100 % à 120 %, c'est ce qui l'empêche de se maintenir à 100 %. On appelle ça la gamberge. Le mental doit trouver un lieu et un mode d'expression non nocifs : c'est le sens et l'objectif du coaching que je propose.
On a bien compris que le
coaching avec un psy ne peut en aucun cas
« faire
un champion »
d'un joueur sans qualités ou qui ne travaillerait pas. Tout joueur ayant perdu après avoir eu une balle de match en sa faveur et avoir joué « petit bras » sait ce qu'il a à gagner. |